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Photo du rédacteurDarth Patzer

On a des habitudes d'il y a 20 ans

Au temps où l'argentique était roi chaque déclenchement coutait, le nombre de prises était fortement limité par la pellicule (une pellicule 24x36 c'est habituellement 36 poses) et pour la très grande majorité des amateurs, surtout en couleur, les développements et tirages étaient faits par des laboratoires.


Plus rien de tout ça actuellement en numérique, un déclenchement ne coûte rien ou presque, une carte mémoire enregistre des centaines de photos, chacun peut tirer le meilleur de ses photos en les développant numériquement et on peut même les imprimer chez soi avec une qualité acceptable.


Mais curieusement il nous reste beaucoup des anciennes façon de faire.


Une photo doit être bien exposée... qu'est-ce qu'on entend par là ? Il ne doit y avoir ni zone crâmée (totalement blanche), ni zone bouchée (totalement noire) ce qui amène à parler de la lattitude d'exposition. Il s'agit de la différence en terme de lumière reçu entre une zone brûlée et une zone bouchée. Pour simplifier, sur un écran et pour une photo noir et blanc une zone bouchée est à 0 et une zone brûlée est à 255.


A continuer....

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